vendredi 25 octobre 2019

L’atelier des alchimistes


L’atelier des alchimistes

Toile de 60/80 cm offerte pour les dix-huit ans d’Alexis et qu'il n'a pas voulu. Poésies écrites sur la bordure à l’encre de chine, le crayon mine noire, le pastel et les feuilles de thé.

Mon objectif était de représenté la transformation, pas seulement du plomb en or, mais plus du négatif en positif. Un travail en soi, dont l’ouverture mène vers l’enchantement du quotidien, et une perception plus accrue, plus colorées de la vie, si toutefois en en faisait le choix.





Du nouveau sur le blog

mardi 8 octobre 2019

Dream on


Tableau offert à Joachim pour sa Bar Mitzva

Encre de chine, crayon mine noire grasse et maigre, cire à cachet, feuilles de thé, pigment naturel pure, pastels










Impression d’Egypte, dans la nef du commandement

Pharaon qui guide la lumière sur la plus belle des routes,
Je vous ai vu fixer les paramètres du gouvernail d’un orient vers l’occident
Vous êtes celui pour lequel l’éternité se met en surbrillance
Montrant à celui qui guide le meilleur de « l’éveil ». 
Dans un poème né, vous vous êtes ré-incarné
Depuis, je suis celui qui possède les éléments, le vent, la terre, les forêts
Vous n’avez pas de regret et pouvez donner de la joie à ceux qui ajustent leur pratique 
Vous n’êtes pas pratique pour les incroyants ou pour ceux qui ont des tics
Cette vie maintenant va plus vite qu’un éphémère, or je fais passer des examens aux amères.
Pharaon de la dynastie du bord des mers
Cette troisième vie éternelle qui vous suit depuis longtemps. 
Est sans aménité, votre peau dorée ne connaît le flétrissement
Car vous êtes nourris des quatre point d’horizon
Très proches de votre splendeur, se déploient mes rêves d’un azur confiné.
J’ai ainsi stoppé le mal qui s’était libéré du temps passé.
Je ne peux vous donner à dédicacer les roses de rubis de la galaxie
Mais ce cœur nourri d’une âme surhumaine
vous a découvert et je vous garde près de ma Voie lactée 
Vous, le fils du soleil et le père des eaux
Je n’ai pas de rivage pour vous voir accoster 
C’est dans le clair firmament que mes voiles claquent 
Que j’enfile mon casque d’étoiles
Pour vous rendre compte dans votre « d’eme-Eure » d'albâtre
Que vous n’êtes pas mort et veillez sur nos frissons d’humains.
Le mystère du monde imparfait n’était que décombres 
Quant vous n’étiez que l’ombre de l’histoire
Aujourd’hui, Les nefs qui vous ont transporté 
Se sont évanouies sur les ruines de l’homme colérique
Le mystères des jours triomphants emportent sa plainte
Tandis que s’élève cette vision d’un dieu descendu du ciel.




vendredi 6 septembre 2019

Le sens commun tue

« Le sens commun tue » actualisation de notre blog d’itinérance poétique avec un très bel article de Bruce Wagner : «  tu ne vis que deux fois »


vendredi 9 août 2019

Poème « l’esprit de l’eau »

- Carnet de voyage, « ra-contes » et poésies en itinérance...
Poème sur ; "L’esprit des eaux...L'esprit de l'eau" pour nos retrouvailles ce 8 août 2019
— À lire sur ecrire-le-monde.weebly.com/blog/nos-retrouvailles




dimanche 4 août 2019

Poème « le bain des gnomes »

Forêt épaisse et branches enchevêtrées
Les gnomes, sortent des mines et se lavent de la poussière.
Il plongent dans un lacs d’émeraudes et de lapis-lazuli
Recueillant les plus précieuses des pierres pour leur trésors
Qu’ils cachent au fond d’une cavernes de verre.

Des libellules qui orchestre une symphonie
Sont à l’abri des fougères sur des mousses sèches
Faisant des cercles au-dessus de l’Immensités souterraines
Elle ouvre les portes d’un royaume extraordinaires.
Le fond du lac semble incrustées de diamants et de saphirs rose
Des regards apeuré au chant du vent le borde
Faisant résonner jusqu’au au cœur de la pierre, 
Le pétillement des petits êtres qui s’y calfeutre
Visible aussi sur le blog :
Écrire-Le-monde.weebly.com



Dans son sein, le bois est silence et nous observent.

Nul être vivant ayant atteints cette limite ne peut ignorer l’esprit résidant.
Impossible de résister à la beauté enchantée des millions de cristaux
Et autres pierres précieuses qu’abrite leur demeure.
Des trésors connus ou inconnus
Des splendeurs éparpillées ça et là escaladant les parois
Il faudrait plusieurs vies aux hommes en vain
Pour reconnaître qu’au-delà dune vieille souche
D’une mousse verte ou d’un vieux bout de bois noirci
Vit le joyeux esprit de la forêt.




Parler aux arbres

Le plus récent

In progress