Réalisé avec du carton, du cuivre, feuille de thé, crayon mine noire, pastel, crayon bille, un démonte pneu, du cuivre, du papier canson, de l’encre de chine et de la ficelle…
12 cm x 20 cm
Réalisé avec du carton, du cuivre, feuille de thé, crayon mine noire, pastel, crayon bille, un démonte pneu, du cuivre, du papier canson, de l’encre de chine et de la ficelle…
12 cm x 20 cm
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Avec un galet trouvé sur une plage du Havre, du cuivre, du carton, du crayon mine noire, du pastel, du cuivre, de l’encre de chine, du stylo bille, de la ficelle, du fil de fer.
13 cm x 16 cm
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Sculpture collage avec du carton, de la ficelle, du pastel , du crayon mine noire, du cuivre, une loupe, du stylo bille, du carton feutre, du papier cartonné, de l’œil de tigre.
15 cm x 20 cm
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Sculpture collage avec carton, perle de cuivre, encre de chine, crayon mine noire, papier carton et papier canson, ficelle, encre pastel iridiscente.
16 cm x 20 cm
« Epsilon », la cinquième lettre de l’alphabet cyrillique et deuxième voyelle, symbole d’une quantité infinitésimale que l’on fait tendre vers le zéro…
Dans « Le meilleur des monde », roman dystopique d’Aldous Huxley, les Epsilon (vêtus de noir) forment la caste la plus basse, ils sont faits pour occuper les fonctions manuelles assez simples. Ils sont programmés pour être petits et laids. Divisés en deux comme toutes les autres castes, chacun, en raison de son conditionnement, est persuadé d’être dans une position idéale dans la société de sorte que nul n’envie une autre caste que la sienne, contribuant ainsi à l’objectif ultime de tout le système social : la stabilité…
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
la placette du « bar le Minervois » à Siran, est une œuvre originale à la mine graphite et l’encre (44x54 cm) Dans le calme d’un village Oc...