L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
mardi 8 octobre 2019
Impression d’Egypte, dans la nef du commandement
Pharaon qui guide la lumière sur la plus belle des routes,
Je vous ai vu fixer les paramètres du gouvernail d’un orient vers l’occident
Vous êtes celui pour lequel l’éternité se met en surbrillance
Montrant à celui qui guide le meilleur de « l’éveil ».
Dans un poème né, vous vous êtes ré-incarné
Depuis, je suis celui qui possède les éléments, le vent, la terre, les forêts
Vous n’avez pas de regret et pouvez donner de la joie à ceux qui ajustent leur pratique
Vous n’êtes pas pratique pour les incroyants ou pour ceux qui ont des tics
Cette vie maintenant va plus vite qu’un éphémère, or je fais passer des examens aux amères.
Pharaon de la dynastie du bord des mers
Cette troisième vie éternelle qui vous suit depuis longtemps.
Est sans aménité, votre peau dorée ne connaît le flétrissement
Car vous êtes nourris des quatre point d’horizon
Très proches de votre splendeur, se déploient mes rêves d’un azur confiné.
J’ai ainsi stoppé le mal qui s’était libéré du temps passé.
Je ne peux vous donner à dédicacer les roses de rubis de la galaxie
Mais ce cœur nourri d’une âme surhumaine
vous a découvert et je vous garde près de ma Voie lactée
Vous, le fils du soleil et le père des eaux
Je n’ai pas de rivage pour vous voir accoster
C’est dans le clair firmament que mes voiles claquent
Que j’enfile mon casque d’étoiles
Pour vous rendre compte dans votre « d’eme-Eure » d'albâtre
Que vous n’êtes pas mort et veillez sur nos frissons d’humains.
Le mystère du monde imparfait n’était que décombres
Quant vous n’étiez que l’ombre de l’histoire
Aujourd’hui, Les nefs qui vous ont transporté
Se sont évanouies sur les ruines de l’homme colérique
Le mystères des jours triomphants emportent sa plainte
Tandis que s’élève cette vision d’un dieu descendu du ciel.
Je vous ai vu fixer les paramètres du gouvernail d’un orient vers l’occident
Vous êtes celui pour lequel l’éternité se met en surbrillance
Montrant à celui qui guide le meilleur de « l’éveil ».
Dans un poème né, vous vous êtes ré-incarné
Depuis, je suis celui qui possède les éléments, le vent, la terre, les forêts
Vous n’avez pas de regret et pouvez donner de la joie à ceux qui ajustent leur pratique
Vous n’êtes pas pratique pour les incroyants ou pour ceux qui ont des tics
Cette vie maintenant va plus vite qu’un éphémère, or je fais passer des examens aux amères.
Pharaon de la dynastie du bord des mers
Cette troisième vie éternelle qui vous suit depuis longtemps.
Est sans aménité, votre peau dorée ne connaît le flétrissement
Car vous êtes nourris des quatre point d’horizon
Très proches de votre splendeur, se déploient mes rêves d’un azur confiné.
J’ai ainsi stoppé le mal qui s’était libéré du temps passé.
Je ne peux vous donner à dédicacer les roses de rubis de la galaxie
Mais ce cœur nourri d’une âme surhumaine
vous a découvert et je vous garde près de ma Voie lactée
Vous, le fils du soleil et le père des eaux
Je n’ai pas de rivage pour vous voir accoster
C’est dans le clair firmament que mes voiles claquent
Que j’enfile mon casque d’étoiles
Pour vous rendre compte dans votre « d’eme-Eure » d'albâtre
Que vous n’êtes pas mort et veillez sur nos frissons d’humains.
Le mystère du monde imparfait n’était que décombres
Quant vous n’étiez que l’ombre de l’histoire
Aujourd’hui, Les nefs qui vous ont transporté
Se sont évanouies sur les ruines de l’homme colérique
Le mystères des jours triomphants emportent sa plainte
Tandis que s’élève cette vision d’un dieu descendu du ciel.
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