Parution du roman "Mort en prison" aux éditions L'AMagie par Jean-Pierre Montaron
Un récit fiction, mais certains de ses éléments ont été directement inspirés par des événements réels survenus à Fleury-Mérogis.
Parution du roman "Mort en prison" aux éditions L'AMagie par Jean-Pierre Montaron
Un récit fiction, mais certains de ses éléments ont été directement inspirés par des événements réels survenus à Fleury-Mérogis.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
la placette du « bar le Minervois » à Siran, est une œuvre originale à la mine graphite et l’encre (44x54 cm)
Dans le calme d’un village Occitan, un coquelicot et une pâquerette surgissent sur l’asphalte, symbole de vie, de résistance et de beauté fragile ; signé Meichelus, cette toile capture l’âme de Minervois et de ses pierres intemporelles. Les parasols sont fermés, la voiture est immobile et les pierres parlent, il y a toujours une force qui pousse, même au milieu de la route.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
« Riding soul » un ouvrage de poésie réalisé à deux mains, par Anouk Journo (poèmes et traductions) et Meichelus (illustrations), en anglais
This poetry book is dedicated to the Travelers of the Soul...
... who, like us, tirelessly explore the hidden treasures of the world.
To the free spirits who walk off the beaten paths, listen to the whispers of the wind, pause to contemplate the fleeting beauty of a moment, and with each step, rediscover themselves a little more deeply.
To the gentle people we have met along the way, who smiled at us and simply discussed with us. This is a tribute to encounters that dissolve borders and barriers, enchanting our days « on the road,” a journey shared with our animal friends as well, a cat and a dog we love dearly.
To nature, our guide and mirror...
To the sea, the mountains, the majestic trees, the radiant stars, the shadows of the clouds, and the timid light of dawn.
To the animals, to the plants—so humble and yet so powerful. To our caravan that sheltered us and will carry us once more along this road where we learn and relearn how to observe, listen, and feel.
To the children who carry within them the lightness of being and cultivate an infinite curiosity.
They are the natural poets of our world—vivid poets who remind us, day after day, that beauty lies in small gestures, shared glances, and the magic of simplicity.
To Tom and Alexis, our beloved sons, and the poetry they create along their own paths...
We traveled by caravan (a Mancelle) through a multitude of landscapes, which became like living poems —from the Cévennes to the Pyrénées-Atlantiques, along the Mediterranean... No need to go really far awy to be filled with wonder. In truth, it was not only the beauty of the places that nourished us but also this intimate connection with the world, this invisible thread linking us to other Soul Travelers.
On the road, with our beagle Pogo and our cat Piou, we followed the natural rhythm of Life and the seasons. Our « rolling home » was not just a means of transport but a moving cocoon in which we lived, wrote, drew, and felt Life in a very simple, genuine way.
These different poems and drawings arise from the same energy—this immediate sense of Nature around us... Every morning, Anouk wrote a poem. Almost immediately, Meichelus would draw, capturing that same essence—the raw emotion, the silences between the words.
Each illustration, each poetic text, no matter how short, carries an imprint of those suspended moments that gently stirred our souls.
Writing and drawing poetry, sharing our art work with you, is a way to marvel, again and again, at everything and nothing.
To be surprised by the beauty of Nature, coincidences, unexpected serendipities. We speak and communicate with animals, birds, plants, stones, the rain, the storm, the moon,
and its solar companion...
Well, this is simply... Life.
Anouk & Meichelus
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
✨☀️Nouvelle toile de Meichelus☀️✨
je vous présente “Coccinelle de vigne” ( 40x60 cm avec passe-partout) Une toile poétique, qui mêle patrimoine, vigne et imaginaire.
Cette œuvre rend hommage à la cave vigneronne de Siran, au cœur du Minervois. Entre pierre et mémoire, Meichelus y fait surgir deux symboles discrets :
❤️🍇Le rouge du vin (et l’écriture).
🐞La coccinelle, messagère de nature et de chance.
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Comme une promenade entre les murs, les portes, les pierres. J’aime jouer avec les détails, alors faut-t’il un grand format ?… En attendant la révélation complète qui arrive bientôt ✏️😇
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Possibilité de soutenir l’association en acquérant ces lots de cartes postales, imprimées à partir des oeuvres de l’artiste Meichelus pour la série : « Paysages Extérieurs ». Ces oeuvres cherchent à mettre en valeur l’environnement particulier au minervois. Il est possible de les trouver sur le site de Helloasso ou bien à Félines-Minervois auprès de l’association
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
🍇✨ Nouvelle création : « Quand les chausse souris, la vigne aussi » ✨🍇
Encre de Chine, mine graphite et aquarelle, surmontées d’un cadre bois et passe-partout (40 x 60 cm).
Ces vieilles chaussures, posées sur un seau en bois, portent en elles toute la mémoire du travail dans les vignes : la poussière, la boue, la rigueur et la fatigue d’un métier exigeant.
À travers elles, j’ai voulu rendre hommage aux ouvriers de la vigne, à leur patience et à leur force.
👉 « Quand la chausse souris, la vigne aussi »
Un clin d’œil symbolique, respectueux et plein d’humour, pour saluer le temps des vendanges dans le Minervois et ceux qui le rendent possible.
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En pleine recherche créative 🍇✨ : je m’inspire du travail patient des vignerons, de leurs gestes avant, pendant et après les vendanges, pour en faire une métaphore graphique… teintée de magie et d’un brin d’humour 😉.
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« Ombre bienveillante »
Dans l’ombre de la mairie
Deux grands arbres
Un pas, un museau
Paroles murmurées
Le village écoute
M.
Toile terminée aujourd’hui 41/30 cm sur un passe-partout et cadre en bois 50/60 cm. Mine graphite, aquarelle et encre de Chine. Intégrée dans le livre en cours : « Parole de Félinoises » ainsi qu’un recueil de poésie à paraître : « Mais où est L’Ô d’Hautpoul ? ». Toile vendue en Août 2025
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Découvrez une nouvelle série d’œuvres graphiques mêlant encre de Chine, mine graphite et aquarelle, née d’un dialogue intime entre le réel et l’imaginaire.
À travers ces dessins et peintures, je vous invite à parcourir les paysages de Félines-Minervois et de ses environs, tels qu’ils apparaissent à mes yeux et à mon cœur. Chaque toile capte la singularité d’un lieu — ruelle, bâtisse, vigne, colline — et y glisse, presque imperceptiblement, une touche de rêverie symbolique : un élément décalé, une lumière étrange, un détail silencieux qui interroge ou apaise.
Ces œuvres sont pensées comme les premiers pas d’une série en devenir, où l’observation du monde se mêle à l’expression de l’invisible.
Les formats sont harmonisés :
– Toiles au format A3 (29,7 x 42 cm), réalisées sur papier de qualité.
– Encadrement bois, avec passe-partout blanc (dimensions totales 54 x 44 cm), pour une présentation sobre et élégante, prête à exposer.
Chaque pièce est unique.
Bienvenue dans ce parcours artistique où la mémoire des lieux se teinte de symboles, et où chaque paysage devient un fragment de rêve.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Réalisée à la mine graphite, à l’encre de chine et au crayon aquarellable à partir d’une photographie faite à la fin du mois de mai.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Ce dessin fait partie d’une nouvelle série de dessin, apparentés au « réalisme magique ». Pour rappel, le réalisme magique est un style artistique dans lequel des scènes réalistes, souvent du quotidien, sont enrichies d’éléments étranges onirique ou surnaturels, intégrés avec naturel, comme s’ils faisaient partie du réel. Ce dessin appartenant à un ensemble de dessins actuellement en réalisation, est une représentations imaginaires intitulé : « Ombre et Lumière ». C’est une vue de mon village : « Félines-Minervois », légèrement transformée et utilisant l’ombre et la lumière pour créer une atmosphère qui lui rend hommage. Du relief et des maisons ont été rajouté discrètement pour servir mes intentions. Une exposition est en cours actuellement au Grand Café Occitan, jusqu’à la fin du mois d’août.
Une premier lot de cartes postales (copies de ce dessin) ont été déposées à l’épicerie de Julie, dans le village. Un autre dessin en cours sera bientôt terminé, représentant cette même « épicerie de Julie » et qui sera bientôt disponible, également sous forme de cartes postales…
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
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L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Deux vieux tracteurs rouillés reposent sous le vent, témoins silencieux d’un monde où l’essentiel prime sur l’accessoire. Leur carcasse fatiguée, marquée par les saisons, porte en elle la mémoire d’un labeur humble et acharné. Ils veillent à l’entrée d’une ferme où l’on ne compte pas les heures en chiffres, mais en gestes. Ici, on ne produit pas pour accumuler, on sème pour nourrir, on soigne pour guérir, on accueille pour offrir une seconde chance.
Les chevaux arrivent un à un, cabossés par la vie, rejetés par un système qui ne tolère que l’efficace. Mais ici, entre les mains discrètes et bienveillantes de ceux qui habitent ces terres, ils retrouvent leur souffle, leur dignité. Rien n’est fait à la hâte et tout suit le rythme de la nature, en tenant à bout de bras, les corps et des âmes.
À quelques pas, la pinède bruisse sous le vent, la garrigue s’étend au-dessus dans son un écrin sauvage. La ferme, enracinée dans cette nature brute, résiste aux assauts du monde moderne comme du climat de Séville, à ses absurdités administratives, à ses logiques aveugles qui écrasent les petites gens. Pourtant, ici, personne ne se lamente mais résiste. On avance, on crée, on bâtit malgré tout. Avec intelligence et humilité, on compose avec la terre et le ciel, avec la pluie qui n’arrive pas et la sécheresse, trouvant toujours une façon d’avancer sans trahir et tenir l’équilibre fragile du vivant.
Les tracteurs, eux, ne bougent plus, mais ils n’ont pas disparu. Ils sont là, comme une allégorie du temps qui passe et de la force tranquille de ceux qui refusent de plier. Leur rouille n’est pas une fin, c’est une empreinte, la marque d’une existence dédiée à l’utile, à l’essentiel. Ils sont comme ces hommes et ces femmes qui, loin des projecteurs, tissent chaque jour un avenir plus doux, plus juste, en silence, sans attendre d’autre récompense que la certitude d’avoir fait ce qu’il fallait.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
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Poème : « La maison de R »
À l’entrée du village, là où le goudron se lasse de sonner clair, la maison de R. s’étire comme un refuge discret. Une bâtisse modeste, cabossée par le souffle du temps, posée entre des mondes qui ne devraient jamais se croiser. À sa droite, un champ d’oliviers tend ses jeunes rameaux vers le ciel, comme s’il cherchait encore à s’enraciner pleinement dans la terre. À sa gauche, une prairie herbeuse semble hésiter, entre liberté sauvage et l’ordre de la résidence voisine, aux jardins taillés comme des mensonges parfaits.
Devant sa maison, les voitures s’alignent, certaines amochées, d’autres presque fières dans leur nudité métallique. Elles attendent, comme des récits interrompus, que les mains de R les réveillent. On dirait qu’il parle leur langue, qu’il négocie avec elles le retour à la route, à la vie. Dans cet amoncellement de carcasses et de rouille, une étrange alchimie se déploie. Un capot entrouvert peut devenir une bouche murmurant des promesses ; une vitre brisée, une lucarne sur d’autres mondes.
La maison elle-même semble vivante, avec ses fenêtres dépareillées qui clignent sous le vent, son toit fatigué mais courageux, et ce soupçon de lumière qui filtre par les rideaux à fleurs délavés. Ce n’est pas un lieu pauvre ; c’est un lieu qui a des histoires. Le soleil, quand il s’y pose, fait scintiller le métal des voitures abandonnées comme autant de constellations perdues. Et R, silhouette simple et fragile, traverse son domaine comme on traverse sa propre vie, sans tricherie, en portant sur le dos un quotidien léger, qui ne s’embarrasse pas des apparences.
La nuit venue, sous le chant des grillons et les reflets lunaires, tout se transforme en un théâtre irréel, où la maison devient un vaisseau échoué sur les bords de l’impossible. R, dans ce décor qui l’englobe et le révèle, semble appartenir à un autre rythme, à une autre façon d’habiter le monde. Il ne s’embarrasse pas des regards, et c’est peut-être ça qui trouble. Sa vie, simple jusqu’à l’excès, contient pourtant une sorte de force que d’autres auraient perdue.
Et au loin, le cimetière veille. Non comme une menace, mais comme un témoin silencieux, ses pierres blanches offrant un contrepoint immobile à la vie chaotique qui palpite ici. Entre les contrastes, entre les ombres et la lumière, il y a cette beauté qui échappe à ceux qui ne regardent qu’avec leurs yeux. La maison de Richard n’est pas un écart. Elle est un seuil. Entre la réalité et l’imaginaire, entre le fracas des hommes et la douceur des oliviers, elle respire, indomptée, comme une vérité oubliée.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Dans la garrigue brûlante, l’esprit du Razorback glisse, invisible et immense, sous un ciel impitoyable. Les chiens aboient, mais rien ne peut m’atteindre. Je suis l’écho d’un rugissement ancien, un souffle chaud porté par la magie de la terre. Les Treize âmes sont toutes prochent, et leurs pas résonnent dans le vide. Protégées par cette force, incapables de saisir leur course furtive, les tirs éclatent, mais la forêt est épaisse, l’esprit intouchable.
Je suis une brume au matin, indomptable, m’échappant dans l’immensité silencieuse. Le vent, les ombres, les pierres, tout m’accompagne dans cette course pêle-mêle . Les voix humaines s’éteignent, mais dans le silence, mon nom résonne, sang-lier porté par l’esprit de la garrigue. Je suis libre, invisible, éternel.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Sous la souche au bord du chemin, un dragon et un lutin cachent leur monde secret, tissé de brume et de bois. Le lutin rit dans l’ombre, ses yeux d’émeraude brillant d’un éclat mystérieux, tandis que le dragon, silencieux, souffle un feu discret, gardien d’un secret invisible.
Seuls ceux qui osent encore rêver peuvent, un instant, entrevoir leur danse secrète. Leur monde, effacé des yeux endormis, vibre dans l’ombre. Et toi, passant près de cette souche, si ton regard se fait curieux, peut-être apercevras-tu un éclat d’espoir : un rire, un souffle, un monde caché dans le brouillard.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Désormais il est possible d’intégrer l’association l’AMagie en apportant vos souscriptions içi
https://www.helloasso.com/associations/l-amagie/adhesions/adhesion-a-l-amagie
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture et écriture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Parution du roman "Mort en prison" aux éditions L'AMagie par Jean-Pierre Montaron Un récit fiction, mais certains de ses élém...