Sur le mur, des enluminures près de chez toi
Se déroulent de secrets entrelacs de vie
Du fond de la terre serpente la sève de vie
Elle dessine des chemins, crée une écriture accomplie
Rien est fini, tout commence hord l'oublie
Des symboles au traits blanchis
Transparaît la scène d'un cadeau de vie.
Avec elle descripté, ce livre précis, infini
Qui dit ce qui est juste entre les plis
D'une pages d'or et de jade se sont inscrits
Un mur près de toi, un écrin de nos émois.
De l'arbre centenaire, descends un dragon
Il buvait l'eau avec le noir et le blanc
Aux portes de la montagne, des géants
Eux aussi font illusions
Ni le bien ni le mal n'ont crée le monde
Partout, notre amour saura franchir le monde
Finit le 22 décembre 2015, l'avant veille de Noël. Encre de chine, stylo, pastel, acrylique, or, le cadre etant réalisé avec le goudron des momies égyptiennes et un de l'or.
Un papillon jouait dans les rayons du soleil
Apercevant une fleur séchée, il se posa à son sommet, son cœur était transparent.
Bien que léger, en se courbant sur elle-même
Elle rejoignit une brindille à côté et ainsi se forma un cœur
Plus loin, un papillon de même couleurs, irisé sur les bordures avec de jolies tâches blanches aperçu le message
Quand les deux se retrouvèrent, de leurs ailes emmêlées, une poudre d'or s'éleva. Ont dit que c'est la poudre de la Connaissance. Leur vol en spiral idéal à depuis rejoins l'autre bout du champ
Montagne de mélèzes, au creux dun vallon, deux géants de pierre.
A leur pieds se cache, un esprit rastaquouère
Dans un souffle moqueur il annonce avant l'heure
Le départ des oiseaux migrateurs.
Que sait-il de l'hiver sous l'ombrelle de l'ammi ?
Si la mue du serpent ne se nourrit pas d'hier
On ouvre la porte des nuages au fond d'une cuillère.
Dans la montagne, le bruit de l'eau sur les pierres
La trace d'un valeureux qui s'est endormi là
Deux vieux tracteurs rouillés reposent sous le vent, témoins silencieux d’un monde où l’essentiel prime sur l’accessoire. Leur carcasse fa...
