Les battements de la terre et de la mousse
De l’eau, des racines des rêves aux oreilles douces
Nous promettent des nuages confits
Poème d’Anouk Journo
Bienvenue dans Le regard de Meichelus, héritier d’Eugène Delacroix par ses grand-parents maternels, où la peinture et la littérature se font échos dans une danse magique, résistance subtile à l’ordinaire. Ce blog est un voyage surréaliste, une incantation poétique pour redécouvrir la beauté secrète du quotidien. Chaque texte, chaque toile, comme une clé mystique, ouvre des portes vers un ailleurs où l’art devient guide et la magie, souffle d’éternité, éclaire des chemins insoupçonnés.
mercredi 12 août 2020
Les battements de la terre
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Glisser se promener dans un monde gelé
Glisser se promener dans un monde gelé
Fendre le coeur des nuées
L’autre l’autre l’autre envolé
Ne pas mourir sur la berge
Inspirer inspirer
Le noir devenu lumineux
Les merles se moquent de nos yeux
La quenouille de l’ailleurs se dévide
Torsades le long des balades
Imaginer la vie opaline, se révolter
Quêter le regard des chevaux
Des moineaux
Des nuages qui s’embrassent
Se nouer tendresse urgente
Caresser caresser l’eau
L’autre
Poème d’Anouk Journo.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Le chant des pinèdes apaise les âmes
Le bal du printemps au coeur
Du monde, moment surnaturel,
Libère peu à peu les peurs
Il s’agit de se relier en été
Comme en haut des glaciers
Se nouer tendresse urgente
Le silence des rues opalescentes
Ouvre le chant de l’air
Aux merles heureux de siffler
Le coeur lourd des cerisiers en fleurs
Goutte peu à peu, lumière
D’un futur empli d’invisible
Deux nuages se sont embrassés sous mes yeux.
Poème d’Anouk Journo.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
samedi 13 juin 2020
Volt rêve ; recueil 1
Les arbres offre un foulard à la terre
*
le fil se dénoue peu à peu
Oubli frileux
Attiser le feu de l’œil
*
Narine contre narine
Le baiser des ivres
D’amour, ton sourire
*
Foulées spatiales
Abyssale de toi
Recommencer neuve
*
Dans l’étreinte des joncs
J’ai senti la part du soleil
Et des plumes d’histoire
.
La folle disparition des nuits sans étoiles.
*
le fil se dénoue peu à peu
Oubli frileux
Attiser le feu de l’œil
*
Narine contre narine
Le baiser des ivres
D’amour, ton sourire
*
Foulées spatiales
Abyssale de toi
Recommencer neuve
*
Dans l’étreinte des joncs
J’ai senti la part du soleil
Et des plumes d’histoire
.
La folle disparition des nuits sans étoiles.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
mardi 9 juin 2020
Coccinelle sur un sein
Voici la dernière toile de Meichelus.
65/50 cm sur papier arche. Réalisée avec de la mine noire, de l’encre de chine, du pastel et du stylo bille. Cette création est partit d’une immersion du coté de la synchronicité positive, illustré par un Haiku écrit par Anouk, ma chérie d’amour.
Haiku que voici avant de le découvrir et sur la toile :
Les couleurs parlent
Du trait jaillit la beauté
Jour après jour...voir.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
In progress : Une coccinelle sur un sein
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
vendredi 22 mai 2020
Notre recueil de poésie : "Les narines de la terre"
Création avec Anouk JOURNO, en intercalant mes illustrations entre ses textes pour une poésie partagée. Le socle, notre amour accompagné de la même passion pour la terre, les animaux et la poésie.
Notre recueil paru chez Christophe Chomant ce mois-ci !
Des poèmes pour jeunes lecteurs ou lecteurs à l’esprit jeune : petits et grands, en somme.
L’inspiration, pour ces courtes poésies délicatement illustrées par Meichelus (Michel Foucher, moi-même...), est essentiellement venue lors de promenades sur les berges de la Seine, aux alentours de Vernon.
L’écologie y est abordée de façon poétique. Par exemple, la Terre a très mal à cause de vilains sacs en plastique. Il faut trouver une solution.
On espère que ce recueil de 75 pages trouvera son chemin chez les graines de poètes que sont les enfants, en atelier d’écriture… quand on pourra de nouveau en bâtir et animer. En classe CHaé, qui sait, un jour, peut-être.
En tout cas, le livre est là, et il est très beau.
Anecdote : le dernier recueil d'Anouk s’appelait « Les yeux de lune », également publié par Christophe Chomant. C’est réellement par un incroyable hasard poétique que intitulé celui-ci « Les narines de la terre ». A force d’être à l’écoute du monde………..
Mes dessins sont sous un trait naïf et enfantin, clin d'oeil à une humanité qui se renouvellerai et serait ouverte aux changements.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
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