mercredi 12 août 2020

Le chant des pinèdes apaise les âmes


Le bal du printemps au coeur

Du monde, moment surnaturel,

Libère peu à peu les peurs


Il s’agit de se relier en été

Comme en haut des glaciers

Se nouer tendresse urgente


Le silence des rues opalescentes

Ouvre le chant de l’air

Aux merles heureux de siffler 


Le coeur lourd des cerisiers en fleurs

Goutte peu à peu, lumière

D’un futur empli d’invisible


Deux nuages se sont embrassés sous mes yeux.


Poème d’Anouk Journo.




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Toile de la série « Mon Félines imaginaire » intitulée : « Passage d’Hannibal par le panier de Julie »

 Réalisée à la mine graphite, à l’encre de chine et au crayon aquarellable à partir d’une photographie faite à la fin du mois de mai.