L’amusement des cigales
L’aboiement d’un chien seul
L’épaisseur de la tramontane
Le murmure des figuiers
La tristesse du torrent
Alors que les herbes rousses pétillent
Plonger dans de doux remous
Et se laver ainsi de l’oubli
Panser l’enfance meurtrie
Pour glisser sur le ventre rond de la vie
Poème d’Anouk Journo
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