L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Rumi à Paracelse et Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda et Luis Ansa, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
samedi 9 novembre 2019
vendredi 8 novembre 2019
jeudi 7 novembre 2019
vendredi 25 octobre 2019
L’atelier des alchimistes
L’atelier des alchimistes
Toile de 60/80 cm offerte pour les dix-huit ans d’Alexis et qu'il n'a pas voulu. Poésies écrites sur la bordure à l’encre de chine, le crayon mine noire, le pastel et les feuilles de thé.
Mon objectif était de représenté la transformation, pas seulement du plomb en or, mais plus du négatif en positif. Un travail en soi, dont l’ouverture mène vers l’enchantement du quotidien, et une perception plus accrue, plus colorées de la vie, si toutefois en en faisait le choix.
mardi 8 octobre 2019
Impression d’Egypte, dans la nef du commandement
Pharaon qui guide la lumière sur la plus belle des routes,
Je vous ai vu fixer les paramètres du gouvernail d’un orient vers l’occident
Vous êtes celui pour lequel l’éternité se met en surbrillance
Montrant à celui qui guide le meilleur de « l’éveil ».
Dans un poème né, vous vous êtes ré-incarné
Depuis, je suis celui qui possède les éléments, le vent, la terre, les forêts
Vous n’avez pas de regret et pouvez donner de la joie à ceux qui ajustent leur pratique
Vous n’êtes pas pratique pour les incroyants ou pour ceux qui ont des tics
Cette vie maintenant va plus vite qu’un éphémère, or je fais passer des examens aux amères.
Pharaon de la dynastie du bord des mers
Cette troisième vie éternelle qui vous suit depuis longtemps.
Est sans aménité, votre peau dorée ne connaît le flétrissement
Car vous êtes nourris des quatre point d’horizon
Très proches de votre splendeur, se déploient mes rêves d’un azur confiné.
J’ai ainsi stoppé le mal qui s’était libéré du temps passé.
Je ne peux vous donner à dédicacer les roses de rubis de la galaxie
Mais ce cœur nourri d’une âme surhumaine
vous a découvert et je vous garde près de ma Voie lactée
Vous, le fils du soleil et le père des eaux
Je n’ai pas de rivage pour vous voir accoster
C’est dans le clair firmament que mes voiles claquent
Que j’enfile mon casque d’étoiles
Pour vous rendre compte dans votre « d’eme-Eure » d'albâtre
Que vous n’êtes pas mort et veillez sur nos frissons d’humains.
Le mystère du monde imparfait n’était que décombres
Quant vous n’étiez que l’ombre de l’histoire
Aujourd’hui, Les nefs qui vous ont transporté
Se sont évanouies sur les ruines de l’homme colérique
Le mystères des jours triomphants emportent sa plainte
Tandis que s’élève cette vision d’un dieu descendu du ciel.
Je vous ai vu fixer les paramètres du gouvernail d’un orient vers l’occident
Vous êtes celui pour lequel l’éternité se met en surbrillance
Montrant à celui qui guide le meilleur de « l’éveil ».
Dans un poème né, vous vous êtes ré-incarné
Depuis, je suis celui qui possède les éléments, le vent, la terre, les forêts
Vous n’avez pas de regret et pouvez donner de la joie à ceux qui ajustent leur pratique
Vous n’êtes pas pratique pour les incroyants ou pour ceux qui ont des tics
Cette vie maintenant va plus vite qu’un éphémère, or je fais passer des examens aux amères.
Pharaon de la dynastie du bord des mers
Cette troisième vie éternelle qui vous suit depuis longtemps.
Est sans aménité, votre peau dorée ne connaît le flétrissement
Car vous êtes nourris des quatre point d’horizon
Très proches de votre splendeur, se déploient mes rêves d’un azur confiné.
J’ai ainsi stoppé le mal qui s’était libéré du temps passé.
Je ne peux vous donner à dédicacer les roses de rubis de la galaxie
Mais ce cœur nourri d’une âme surhumaine
vous a découvert et je vous garde près de ma Voie lactée
Vous, le fils du soleil et le père des eaux
Je n’ai pas de rivage pour vous voir accoster
C’est dans le clair firmament que mes voiles claquent
Que j’enfile mon casque d’étoiles
Pour vous rendre compte dans votre « d’eme-Eure » d'albâtre
Que vous n’êtes pas mort et veillez sur nos frissons d’humains.
Le mystère du monde imparfait n’était que décombres
Quant vous n’étiez que l’ombre de l’histoire
Aujourd’hui, Les nefs qui vous ont transporté
Se sont évanouies sur les ruines de l’homme colérique
Le mystères des jours triomphants emportent sa plainte
Tandis que s’élève cette vision d’un dieu descendu du ciel.
Inscription à :
Articles (Atom)
Le plus récent
« En quête d’Hozro »
Ça y’est, notre livre de poésie et peinture a pu paraître grâce à notre association et la maison d’édition : « L’AMagie » créées récemment...
-
« La Maât soufflant à l’oreille du philosophe » Mon ambition - et pas des moindres - est de relier philosophie platonicienne et mystique d...
-
« Métaphysique épiphysérienne » Toile de 80/60 cm réalisée au crayon mine, avec de l’encre de Chine, de la peinture pastel, de la peinture...
-
« EXPANSION » Je résumerai le travail de cette toile par ces mots de la poétesse Maria Sabina : « Plus on s’enfonce dans l’univers du Téona...