jeudi 20 juin 2019
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
dimanche 16 juin 2019
Te voir appuyer sur le bouton pause.
Ce n’est pas encore l’été, voilà, nous sommes décidés
C’est devenu une habitude de nous décider vite.
Le long de la Seine, la nuit est festive.
Ce n’est pas que nous sommes samedi.
On aurait dit que notre vie était içi.
Nous nous créons cette liberté d’exister beaucoup
En cherchant dans l’air l’essence de notre vie terrestre.
Les signes qui pourraient ne pas nous sembler balnéaires
Pour mieux exercer notre univers d’elfes mirifiques
Nous avons transplanté nos bureaux poétiques
Dans une caravane élégante pour nomades prestigieux.
Des outils magiques pour nos yeux
En accord avec la lune des amoureux
Ainsi trans-portés, nos talents saurons s’exercer
Mieux que deux tirés au carré
Certain de te voir appuyer un jour, sur le bouton « pause ».
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Arménie maritime
Arménie maritime
A peine a-t’elle posé ses pieds sur la terre
Que la poétesse des dunes dépose le vent.
A peine a-t’elle déjà fait le voyage
Que l’horizon insondable se met en quatre.
Le regard posé sur son for intérieur
Elle scrute des étoiles, les narcisses de Glénan.
Un tronc d’arbre fossile supporte sa greffe
Clamant au centre d’une floraison de fers a cheval
Qu’à marée haute, son cœur à mis au monde
L’âme pêcheresse d’un navigateur.
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
samedi 1 juin 2019
En se frayant un chemin
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Au bord d'un lac
L’ « être » est la lumière qui transcende l’obscurité. Les forces de la nature l’éclairent. L’invisible est là. De Paracelse à Papus, d’Eliphas Lévis à Oudini, de Jung à Groff, de Maria Sabina à Jodorowsky en passant par Castaneda, poésie et magie ré-enchantent le visible. Dessin et peinture sont des chemins, une porte d’entrée. Ils rendent libres celle et celui qui cherchent dans les enchevêtrements du quotidien, les secrets révélés par l’idéalisme magique.
Inscription à :
Commentaires (Atom)
Le plus récent
« bar le Minervois »
la placette du « bar le Minervois » à Siran, est une œuvre originale à la mine graphite et l’encre (44x54 cm) Dans le calme d’un village Oc...
-
La traversée d'Hannibal The first picture of a series I titled, "Tickets stellar". Premier tableau d’un ensemble de trois t...




