vendredi 9 août 2019

Poème « l’esprit de l’eau »

- Carnet de voyage, « ra-contes » et poésies en itinérance...
Poème sur ; "L’esprit des eaux...L'esprit de l'eau" pour nos retrouvailles ce 8 août 2019
— À lire sur ecrire-le-monde.weebly.com/blog/nos-retrouvailles




dimanche 4 août 2019

Poème « le bain des gnomes »

Forêt épaisse et branches enchevêtrées
Les gnomes, sortent des mines et se lavent de la poussière.
Il plongent dans un lacs d’émeraudes et de lapis-lazuli
Recueillant les plus précieuses des pierres pour leur trésors
Qu’ils cachent au fond d’une cavernes de verre.

Des libellules qui orchestre une symphonie
Sont à l’abri des fougères sur des mousses sèches
Faisant des cercles au-dessus de l’Immensités souterraines
Elle ouvre les portes d’un royaume extraordinaires.
Le fond du lac semble incrustées de diamants et de saphirs rose
Des regards apeuré au chant du vent le borde
Faisant résonner jusqu’au au cœur de la pierre, 
Le pétillement des petits êtres qui s’y calfeutre
Visible aussi sur le blog :
Écrire-Le-monde.weebly.com



Dans son sein, le bois est silence et nous observent.

Nul être vivant ayant atteints cette limite ne peut ignorer l’esprit résidant.
Impossible de résister à la beauté enchantée des millions de cristaux
Et autres pierres précieuses qu’abrite leur demeure.
Des trésors connus ou inconnus
Des splendeurs éparpillées ça et là escaladant les parois
Il faudrait plusieurs vies aux hommes en vain
Pour reconnaître qu’au-delà dune vieille souche
D’une mousse verte ou d’un vieux bout de bois noirci
Vit le joyeux esprit de la forêt.




Parler aux arbres

dimanche 28 juillet 2019

jeudi 20 juin 2019

Une après-midi de printemps
Tes yeux ont fait un tour d’horizon
Ma vie pour un pétale au vent.




dimanche 16 juin 2019

Te voir appuyer sur le bouton pause.

Ce n’est pas encore l’été, voilà, nous sommes décidés
C’est devenu une habitude de nous décider vite.
Le long de la Seine, la nuit est festive.
Ce n’est pas que nous sommes samedi.
On aurait dit que notre vie était içi.
Nous nous créons cette liberté d’exister beaucoup
En cherchant dans l’air l’essence de notre vie terrestre.
Les signes qui pourraient ne pas nous sembler balnéaires
Pour mieux exercer notre univers d’elfes mirifiques
Nous avons transplanté nos bureaux poétiques
Dans une caravane élégante pour nomades prestigieux.
Des outils magiques pour nos yeux
En accord avec la lune des amoureux
Ainsi trans-portés, nos talents saurons s’exercer
Mieux que deux tirés au carré
Certain de te voir appuyer un jour, sur le bouton « pause ».



Arménie maritime


Arménie maritime

A peine a-t’elle posé ses pieds sur la terre
Que la poétesse des dunes dépose le vent.
A peine a-t’elle déjà fait le voyage
Que l’horizon insondable se met en quatre.
Le regard posé sur son for intérieur
Elle scrute des étoiles, les narcisses de Glénan.
Un tronc d’arbre fossile supporte sa greffe
Clamant au centre d’une floraison de fers a cheval
Qu’à marée haute, son cœur à mis au monde
L’âme pêcheresse d’un navigateur.
Protégé d’Olympe, son souffle m’a libéré.

samedi 1 juin 2019

En se frayant un chemin


Au bord d'une rivière
une grenouille fait un rond
Les fleurs de nénuphars, arrogantes, émergent
Leurs fleurs jaunes 
Courtisent les longues herbes du fond. 
L'eau transparente délaye ses reflets. 
En se frayant un chemin 
La rivière change le monde.


Le plus récent

Juste après La Chapelle

 « Juste après La Chapelle » est une toile de 60/80 cm réalisée en trois mois et demi. Faite au crayon mine noire, au brou de noix, à l’encr...